mercredi 14 novembre 2007

Leopard, time machine (sauvegardes)

Mac OS X 10.5, leopard

shAgent et timemachine m'ont incité à passer à leopard (Mac OS X 10.5). Quelques remarques sur la mise à jour :
  • c'est long (plus d'une heure)
  • Première surprise: la mise à jour a désactivé le coupe feu qui était activé sous tiger, j'ai perdu toutes mes définitions d'imprimantes
  • le chiffrement utilisé par fievault a évolué. Certains outils (timemachine) ne sont pas compatibles avec le système de tiger et nécessite une conversion de mon dossier perso (qui pèse 75Go). Le temps s'est compté en heures
  • ssh agent est lancé à l'ouverture de session. Avantage: un ssh-add rend la clef privée accessible depuis toutes les applications (donc plus besoin de la ressaisir). Il est possible de stocker ses "passphrase" de clefs privées dans le trousseau de Mac OS X (ce que je ne ferai pas car mon mot de passe d'ouverture de session est plus court que mes passphrase).
Les nouveautés de Leopard selon Apple (il en manque):
  • http://www.apple.com/fr/macosx/features/300.html

timemachine

je suis passé en Mac OS 10.5 Leopard hier. Ca a pris un temps qui se compte en heures.

timemachine est la première incarnation d'un logiciels de sauvegarde sympa pour plusieurs raisons:
  • garde trace des versions passées des fichiers
  • interface de restauration pratique et conviviale
  • timemachine détecte seul le branchement de son périphérique de sauvegarde ce qui lui permet de programme la prochaine sauvegarde (j'aurais aimé qu'elle démarre instantannément)
C'es une première version qui souffre de nombreux défauts :
  • peu compatible avec filevault : on ne peut pas restaurer des fichiers individuels. C'est tout ou rien : le compte et sauvegardé comme une grosse image disque chifrée (Question: quid de l'aspect incrémental des sauvegardes ?)
  • la sélection des fichiers à sauvegarder est pénible: on sélectionne ce que l'on ne veut pas sauvegarder, pas ce que l'on veut sauvegarder. Question: Comment facilement lui dire qu'on ne veut sauvegarder que son dossier personnel ?
  • Question: quid des sauvegardes via réseau ?
Quelques liens utiles :


lundi 12 novembre 2007

Mighty Mouse

Mighty Mouse

j'ai pu emprunter une souris sans fil apple. Comme d'hab., on ne se mouche pas chez Apple : plutôt que de faire un truc propriétaire avec un stick usb côté ordinateur, c'est carrément une souris bluetooth. Un peu comme l'habitude d'utiliser firewire là où la concurrence galère avec l'usb.
Au première abord, on dirait un machin horrible en forme de savonnette, avec un seul bouton pas très pratique et deux boutons très durs sur le côté. En fait, c'est très pratique :
  • deux boutons sur le dessus (en fait: deux zones d'appui: une à gauche et une à droite)
  • une molette en forme de boule (essayez d'imaginer ce que je veux dire :-)) qui permet de scroller verticalement mais aussi horizontalement
  • deux boutons à presser sur le côté (on appuie en même temps sur les deux)
  • les fonctions associées aux boutons sont paramétrables. Pour moi:
    • clic sur la gauche
    • clic droit = Ctrl-clic (menu contextuel)
    • les deux boutons sont dédiés à la fonction "toutes les fenêtres" d'exposé.
La souris met un certain temps à être reconnue par l'ordinateur mais après tout est OK.

Procédure de mise en service (ce que j'ai fait) :
  • allumer la souris en découvrant la lentille (faire glisser le petit cache)
  • clic sur l'icone bluetooth en haut du bureau
  • configurer un appareil bluetooth
    • continuer, souris/continuer
    • on a la liste des adresses des périphériques qui apparaissent (un seul a priori)
    • le choisir
    • ...

impression en mode paysage, manipulation de fichiers pdf

impressions

Au premier abord, tout semblait sympatique: le mac avait des quintilions de pilotes livrés en standard, la fenêtre de réglage des paramètres d'impression semblait riche.
En pratique, c'est comme tout : si on ne sait pas où chercher ...

Depuis Mac OS X 10.2, Mac OS X utilise CUPS pour gérer les imprimantes. En fait, c'est pire que ça puisqu'Apple a racheté CUPS (les marques déposées et embauché le développeur). On peut gérer le serveur cups directement via http://127.0.0.1:631/, si on regarde dans /etc/cups, on peut voir que les connexions ne sont autorisées que depuis la machinne elle=même. On peut avoir de la doc via http://127.0.0.1:631/documentation.html.
Bon, ça va probablement venir mais c'est une vraie souffrance de réussir à imprimer les choses exactement comme je le veux. Ainsi, je voulais imprimer une présentation + notes en deux pages par pages, mode paysages (chaque demi-page aurait été en mode portrait) depuis keynotes. J'ai réussi à tout sauf le mode paysage.

impression en paysage:

mon premier problème a été d'imprimer des transparents (+commentaires) en mode paysage. J'ai chercher désespéremment dans tous les menus de la fenêtre qui apparaît lorsque l'on imprime sans succès. Pour cause, ça ne se règle pas là. Il fau aller dans fichier/format d'impression où on peut choisir l'orientation. Inutile de dire que c'est super pratique de devoir fermer la fenêtre de réglage des paramètres d'impression pour aller choisir l'orientation.

génération de pdf

Mac OS X peut générer du pdf avec tout ce qu'il sait imprimer. La fonctionnalité est alléchante mais on n'a peu de contrôle sur le pdf généré (par ex. : la résolution ? la version du pdf généré, ...). En pratique, malgré tout ce que dit Apple sur le fait que çe ne peut pas servir à des impressions de qualité, ça rempli son rôle tant pour la visualisation écran que pour les impressions qui sont de qualité correcte.

modification de fichiers pdf

Une nouveauté bien pratique de leopard est qu'on peut modifier des fichiers pdf depuis aperçu. Pour cela on utiise la barre latérale :
  • sélectionner et supprimer des pages
  • faire glisser des pages d'un document à un autre pour les copier et les insérer l'endroit de son choix
  • ajouter des pages vierges
Un peu de doc glanée ci et là (pas encore lu) :


samedi 3 novembre 2007

démarrage du système, launchd

démarrage du système, launchd

ràf: Ce message traite d'un sujet sur lequel j'ai peu d'info pour l'instant. Il sera complété à l'avenir.

Mac OS a remplacé les habituels scripts rc BSD par un outil de lancement à la demande appelé launchd.

Un outil gratuit permettant de jouer avec lauchd: http://lingon.sourceforge.net/.
iiens variés récoltés sur le WeB

finder et dossiers système (/, /tmp, ...)

finder et dossiers système (/, /tmp, ...)

Mac OS X protège l'utilisateur de ce qui pourrait être trop compliqué pour lui. Unix et ses dossiers systèmes sont dans le lot. Bref, impossible d'accèder à /tmp, /etc, ... depuis le finder.
Solution : utiliser la formule magique suivante dans une fenêtre terminal : sudo defaults write com.apple.Finder AppleShowAllFiles true. Ca montre aussi les dossiers systèmes autres sous leur vrai jour. Question: sudo est-il nécessaire ?
Cette formule magique n'a d'effet que sur le finder. Dans les fenêtres de choix de fichiers (Fichier/ouvrir par ex.), on peut taper sur la touche / pour indiquer un chemin non affiché come /tmp. Selon http://blog.rominet.net/2006_10_01_archive.html, ça ne marche pas avec les applications carbonisées. Solution proposée (et adoptée): créer un dossier Root dans son dossier personnel et contenant des liens symboliques vers les dossiers utiles (/, /tmp /usr, ...).

vendredi 2 novembre 2007

sunbird : un calendrier/gestionnaire de tâches libre et multiplateforme

sunbird : un calendrier/gestionnaire de tâches libre et multiplateforme

Ben oui, je n'ai rien à dire faute d'avoir pris le temps de l'utiliser. Tout avis/retour d'information est le bienvenu.

Ceci dit, j'ai un problème avec tous ces outils modernes. Actuellement, je fonctionne avec un truc à base de fichiers textes et de scripts shells. Pour pouvoir migrer, il me faut :
  • pouvoir importer mes données actuelles dans un calendrier sachant que je peux faire tout ce qu'un script shell peut faire d'un fi chier texte
  • pouvoir facilement publier mon agenda sur le WeB comme je le fais actuellement
pour l'import de données, j'ai tenté un import au format csv sans succès. Voici ce que j'ai tenté d'importer :

"Subject","Start Date","Start Time","End Date","End Time","All day event","Reminder on/off","Reminder Date","Reminder Time","Categories","Description","Location","Private"
"L3 ASR: projet rseau","11/08/2007","4:30:00 PM","11/08/2007","6:15:00 PM","False","False","","","null","null","null","False"


Ca me sort un message d'insulte du style :

des éléments de réponse possible là: http://forums.mozillazine.org/viewtopic.php?t=481979

pour la publication, l'outil gcaldaemon fait peut-être l'affaire : http://gcaldaemon.sourceforge.net/index.html

ical et les numéros de semaines

ical et les numéros de semaines

je n'ai pas trouvé comment afficher les numéros de semaine dans ical (ni dans le dashbord). Une recherche sur le WeB montre que c'est un problème connu non résolu par Apple. Il a des soutions de contournement :
  • Numsemaine: un gratuiciel permettant de générer un calendrier incluant les numéros de semaine (cf http://home.tele2.fr/zeldaprod/numsemaine.html)
ical Events est un widget pour dashbord permettant d'afficher les évènements saisis dans ical: http://www.benkazez.com/icalevents.php
Il existe des outils qui permettent de faire de la synchro entre google calendar et ical (ou sunderbird). Par exemple (non testé) : gcalDaemon (http://gcaldaemon.sourceforge.net/index.html).
Question: quelle raison de préférer ical à mozilla sunbird ?


mercredi 31 octobre 2007

cocoa, carbon et classic

cocoa, carbon et classic

on trouve 3 types d'applications sous MacOS:
  • classic: des applications MacOS9 qui n'ont pas été adaptées à OS X. Elle s'exécutent dans un environnement de compatibilité
  • carbon: des applications avec une adaptation minimale qui en fait des applications Os X mais sans toutes les fonctionnalités. Les applications de ce type sont dites carbonisées. Selon apple, elles sont censées disparaître à terme
  • cocoa: applications réécrites tirant partie de toutes les fonctionnalités d'OS X.
Exemple: en appuyant sur Alt pendant qu'on clique sur le bouton d'iconification d'une fenêtre, on iconifie toutes les fenêtres du programme. Si on appuie sur Alt en cliquant sur l'icone de la fenêtre d'un document, on rétablit toutes les fenêtres de l'application. Ça ne marche qu'avec les programme cocoa. Ainsi, ça ne marche pas avec firefox 2 qui est une application carbonisée. Ca marche par contre très bien avec iworks qui est une application cocoa.

association programmes/documents

association programmes/documents

Il existe plusieurs façon de trouver le programme permetant d'ouvrir un fichier.

Le pire est probablement la méthode de windows : on s'apuie exclusivement sur le nom et sur son extension (les caractères qui suivant le dernier point contenu dans son nom). Windows ne tient pas compte des premiers octets du fichier, ne tient pas compte du type MIME quand il est fourni (logiciel de lecture de mail microsoft par ex.). Une fois qu'on le sait, on s'adapte (voire on en profite).

Sous unix, il y a 2 méthodes traditionnelement utilisées :
  • on utilise les premiers octets du fichier et la base de données (/usr/share/file/magic sur mac OS) pour identifier le type du fichier. La base de données contient une correspondance début de fichier -> type. La commande file peut être utilisée pour tester les associations : file toto.jpg retournera que c'est un fichier image.
  • le type MIME: c'est une base de données associant à chaque extension du nom de fichier un type de fichier et un fichier de configuration associant aux types les programmes à utiliser pour l'ouverture du fichier. C'est quelque chose qui a été mis en place pour le courrier électronique mais qui sert ailleurs. ràf: préciser les rfc correspondantes.
C'est le programme qui ouvre le fichier qui décide la méthde qu'il utilise. gnome utilise les deux : d'abord la première puis s'il ne trouve pas, la seconde.

Sous MacOS, à chaque fichier est associé un fichier de ressources invisible pour l'utilisateur(*). Ce fichier de ressource contient notamment deux informations utiles :
  • un code de 4 caractères identifiant le type du fichier : type
  • un code de 4 caractères identifiant l'application à utiliser pour ouvrir le fichier: creator
pour ouvrir un fichier, le mac détermine la bonne application de la façon suivante :
  • en utilisant le code créator s'il existe (les fichiers de ce type ont leur extension masquée dans le finder)
  • en utiisant l'extension du nom de fichier sinon (les fichiers de ce type ont leur extension visible dans le finder)
L'outil "type and creator changer" permet de jouer avec les codes (cf http://alphaomega.software.free.fr/contents.php) :
(*): la réalité est un peu plus complexe: les ressources sont stockés comme un flux supplémentaire du fichier original sur les systèmes de fichier le supportant (HFS, HFS_ au moins) et comme un fichier indépendant dont le nom commence par ._ sinon.
En pratique :
  • pour affichier les extensions des fichiers reconnus: finder/preferences/toujours afficher les extensions de fichiers
  • pour masquer/afficher les extensions de certains fichiers : sélectionner les fichiers/Fichiers/lire les informations/(dé)cocher masquer l'extension
  • pour ouvrir ponctuellement un fichier avec une autre application : Ctr-Clic (ou clic droit) ou glisser le fichier sur l'icone de l'application dans le dock
  • pour toujours ouvrir un fichier donné avec une autre application:
    • Ctr-clic puis Alt-clic sur l'application (quand on presse Alt, "ouvrir avec" devient "toujour ouvrir avec")
    • Ctrl-clic puis autre puis cocher la case "toujours ouvrir avec"
    • dans lire les informations du fichier (Pomme-I ou Fichier/lire les informations) changer la valeur de l'application citée dans 'ouvrir avec". Cette méthode permet du traitement par lot, il suffit de sélectionner plusieurs fichiers
  • pour changer l'extension d'un fichier quand elle n'est pas visible : paser par informations du fichier (Pomme-I)
  • pour réaffecter tous les documents d'un type à une application sélectionner un fichier du type voulu puis dans lire les informations du fichier, changer l'application et ciquer sur tout modifier.

lundi 29 octobre 2007

exposé ou comment 3 touches deviennent un produit marketing :-)

exposé ou comment 3 touches deviennent un produit marketing :-)

exposé qui est parfois présenté comme LA nouveauté de panther tient en trois touches :
  • F9: réaménage l'écran pour qu'on voit toutes les fenêtres ouvertes
  • F10: idem mais pour les fenêtres de l'application courante. Appuyer ensuite sur la touche Tab fait passer au programme ouvert suivant et Maj-Tab au programme précédent.
  • F11: pour accèder au bureau (équivalent au Window-D de windows)
  • appuyer une seconde fois sur une touche retourne à l'état initial
  • l'ensemble est compatible avec le glisser-déposer
Il est probablement ridicule de monter en épingle de simple raccourcis clavier mais à l'utilisation, c'est très pratique. Si on est dans firefox et qu'on veut surveiller un téléchargement, il suffit de faire un coup de F10 pour voir l'état de la barre de téléchargement.
Seul problème: sur un macbook, les touches de fonctions sont utilisées pour d'autres choses (luminosité de l'écran). Plusieurs solutions pour palier à ça :
  • on impose l'appui sur la touche Fn pour accèder aux fonctions spéciales des touches de fonction : "préférences système/clavier/utiliser les touches de fonction comme touches de fonction standard". C'est la solution que j'ai utilisé
  • réaffecter les touches permettant de lancer exposé (préférences système/exposé et dashboard)
  • affecter les fonctions d'exposé aux coins de l'écran. On les active en déplaçant la souris dans le coin de l'écran (préférences système/exposé et dashboard).
une fonction pratique qui n'a rien à voir avec exposé : Pomme-H masque le programme courant.

dimanche 28 octobre 2007

Aide en ligne

Aide en ligne

Il faudra que je revienne à dessus plus tard car, pour l'instant, je n'ai jamais trouvé une seule information pertinente via l'aide en ligne. Cas récent, je souhaite avoir de l'information sur ce que recouvre la "mémoire virtuele sécurisée". Je tape ça dans l'aide en ligne (Aide/Aide Mac du finder) car c'est le terme qui apparaît en face d'une case à cocher et l'aide me dit qu'elle n'a rien trouvé. Même combat pour les acl posix. Bizarre !

Bon, il y a les pages de man unix mais j'imagine qu'il doit exister une documentation plus accessible.

Toute aide est la bienvenue :-)

comptes utilisateurs et sécurité des données

création des comptes utilisateurs

Il y a plusieurs types de comptes :
  • root qui est désactivé par défaut (mais on peut exécuter des commandes root via sudo dans une fenêtre de terminal: tous les administrateurs ont le droit d'utiliser sudo)
  • les administrateurs qui ont le droit d'exécuter des tâches d'administration (réglages, créations de comptes, ...)
  • les comptes standard qui permettent l'utilisation de la machine et le réglage de son environnement de travail mai guère plus.
Il est possible de placer des restrictions sur ce que peut faire un compte standard (ex.: lister les programmes qu'il a le droit d'utiliser, ...). Ca se gère dans l'ongle restrictions de l'outil de gestion de comptes.
L'outil netinfo permet de préciser la localisation du dossier personnel d'un utilisateur. On peut le placer sur un disque amovible qui servira sur plusieurs Mac (note: dans ce cas, blinder les sauvegardes de ce périphérique amovibles).
Une fonctionnalité de commutation rapide de compte à la windows permet de travailler confortablement en tant qu'utilisateur standard tout en commutant sur un compte administrateur si nécessaire. L'accès en est d'ailleurs plus rapide et pratique que sous windows. Pour l'activer: préférences système/comptes/options/activer la permutation rapide d'utilisateurs. Les programmes lancés par l'autre utiisateur continuent de tourner après la permutation.

sécurité des données:

Par défaut, openfirmwire (le "bios" du Mac) permet un démarrage sur périphérique externe. En démarrant sur un cd bootable, on peut avoir accès à l'intégralité du MAC. Plusieurs solutions pour palier ça :
  • démarrage de l'ordinateur: il est posible de mettre un mot de passe à openfirmware à l'aide du programme "openfirmware password" disponible sur le site d'Apple. La doc dit qu'un mot de passe perdu ne peut pas être récupéré même par Apple.

  • filevault: chiffrement des données de l'utiisateur : filevault est activable via "sécurité" du panneau de configuration. Il utilise un chiffrement fort pour chiffrer le contenu du dossier personnel (dossier de départ en terminologie Mac) de l'utilisateur. Conséqences : aucun fichier n'est accessibles sans le mot de passe de l'utilisateur (ou le mot de passe de récupération saisi par le premier administrateur activant filevaut), même en branchant le disque sur une autre machine. Les dossiers partagés ne sont accessibles que si l'utilisateur a sa session ouverte. Question: comment accèder à ces fichiers en branchant le disque sur une autre machine (en cas de crash disque par ex.) ?
  • préférences système/sécurité permet d'activer certains paramètres de bon sens :
    • mire de login obligeant à fournir un mot de passe au démarrage
    • mot de passe sur l'économiseur d'écran
  • les droits d'accès unix standards sont supportés : on les affiche/modifie via la fenêtre d'informations sur les fichiers (Pomme-I). Depuis tiger, les acl posix sont censées être supportées mais je n'ai rien trouvé de pertinent dans l'aide à ce sujet. Sur le WeB, il est indiqué que les acl sont supportées par tiger mais :
    • que seul MacOS X server a un outil graphique pour gérer ça
    • qu'il faut l'activer via la commande : sudo /usr/sbin/fsaclctl -p / -e (sur /) ou sudo /usr/sbin/fsaclctl -a -e (sur tous les volumes)
    • qu'on les positionne avec la commande chmod. ex.:

      chmod +a "bob allow read" file

    • màj (2007-1114) : les acl posix sont supportées via un outil graphique sous Mac OS X leopard: dans le finder, il suffit d'aller dans "lire les informations/permissions et partage". A noter que les ACL POSIX ne fonctionne pas du tout comme les ACL windows (notamment pour l'aspect cumulatif des droits).
    • pour plus d'informations voir :
      • http://arstechnica.com/reviews/os/macosx-10-4.ars/8
      • http://forums.macosxhints.com/showthread.php?t=38721
      • http://www.supinfo-projects.com/fr/2006/acl_on_mac_os_x_fr/4/
  • gestion des mots de passe: le trousseau (ràf: kesako ? comment ça marche ? Quelle est la sécurité du bidule ?)

samedi 27 octobre 2007

un autre monde

Y a pas à dire, le mac, c'est un autre monde. Concient de mes déficiences, j'ai un manuel papier. De nos jours, ça fait ringard par rapport à internet et à l'aide en ligne mais il y a certains endroits et certains contextes où un livre papier est plus pratique. Seul problème: macOs est censé être simple et intuitif mais le livre fait quand même presque 800 pages. Je vois venir les médisants: macUser = neuneu et donc on doit avoir 4 mots par pages et plein de copies d'écrans comme on le voit sur certains livres parlant de windows. Je vous arrête : il y a bien quelques copies d'écran mais elles sont minoritaires. C'est plein de texte à lire. J'avance bien, j'en suis à la page 25. :-)

Quelques exemples de choses pratiques et déconcertantes :
  • dans le finder, on n'a que le nom relatif du dossier où on est. On peut voir (et se déplacer dans) l'arborescence en faisant Pomme-clic sur la barre de titre. On peut se déplacer au clavier avec Pomme-flèche haute et Pomme-flèche basse. Ca remplace l'habituel Ctrl-gauche/backspace et Ctrl-droit des autres OS.
  • dans le finder, le touche entrée permet de modifier le nom d'un fichier (et pas de l'ouvrir).
  • quand on manipule une fenêtre, la touche Alt veut dire "appliquer à toutes les fenêtres de l'application". Exemple: un clic sur le bouton jaune (ou un double clic sur la barre de menu) iconifie une fenêtre (elle intègre la partie à droite du dock). Si on fait la même chose avec la touche Alt appuyée, toutes les fenêtres de l'application s'iconifient.
  • Pomme-w ou le bouton rouge ferment une fenêtre. Alt-Pomme-w (ou Alt-bouton rouge) ferment toutes les fenêtres d'une application. L'application reste cependant ouverte. Pour fermer une application, c'est Pomme-Q.
  • défilement dans un document, une fenêtre :
    • en utilisant les barres de défilement
    • via Alt-Pomme-glisser qui fait bouger les curseurs horizontaux et verticaux en suivant les mouvemets de la souris
    • on obtient le même résultat en déplaçant deux doigts sur le trackpad (c'est très pratique d'avoir aussi le déplacement horizontal).
  • pour aller au bureau (Win-D de windows) : F11 (paramètrable : cf config. de dashboard et exposé).
  • la zone de gauche des fenêtres du finder contient les lecteurs, les racourcis utilisateurs, ... Question: comment renommer le nom qui est dans cette partie gauche sans renommer le véritable dossier ? C'est utile quand on a un sous-dossier 2007-2008 dans de nombreux dossiers. Avoir 15 entrées 2007-2008 dans la zone gauche n'est pas très parlant.
MacOS offre les classiques représentations par listes, icones, ... d'un dossier mais aussi une représentation en colonnes bien pratiques. Chaque sous-dossier sélectionné prend place dans une colonne ce qui permet de naviguer facilement dans une arborescences. Exemple:

jeudi 25 octobre 2007

ukelele: modifier l'affectation des touches

ukelele: modifier l'affectation des touches

Bon, il faut être franc, la disposition des touches du clavier me gène (surtout le "-" qui est passé à droite au lieu d'être sur la touche 6 et le "!" qui est sur la touche 8, le + qui est n bas, * que j'utilise couramment avec mutt).
ukelele est un logiciel permettant de modifier l'affectation des touches du clavier. cf http://scripts.sil.org/cms/scripts/page.php?site_id=nrsi&item_id=ukelele. Le clavier français fait partie des claviers livrés dans le dossier roman.

ràf: à tester

darwinports

darwinports

darwinports est un système ressemblant aux ports freebsd : ça permet de compiler et d'installer des quintillions de logiciels open-source. Comme pour les ports freebsd, la liste est impresionnante. cf http://darwinports.com/download/?email=darwinports%40shayol.org&receive_updates=1&x=39&y=14
l'installation nécessite la récupération d'un fichier de près de 1Go chez apple (XCode). Une fois installé, j'ai eu un peu de mal à retrouver mes petits. une fois que c'est fait, l'installation d'un logiciel est enfantine. Exemple avec mutt:

cd /opt/local/var/macports/sources/rsync.macports.org/release/ports/mail/mutt-devel/

sudo port install mutt-devel

Comme le chemin d'accès est à coucher dehors, j'ai fait :

  • un script (/opt/local/bin/port-maj.sh) pour mettre à jour l'arborescence des ports
  • un lien symbolique de /opt/local/var/macports/sources/rsync.macports.org/release/ports vers /opt/local/ports et vers /usr/ports
L'installation de wireshark a pris un peu de temps (c'est fou le nombre de chose que ça demande) mais elle s'est passée sans problème.

Question: quid du suivi sécurité des outils proposés par darwinports.com ?

Question: comparaison entre darwinports.com/darwinports.org/fink ?

mardi 23 octobre 2007

écran externe épisode 1

écran externe épisode 1

Bon, j'ai perdu 15 mn parce que j'avais mal enfoncé le connecteur de l'écran externe. Un fois qu'on l'enfonce bien, ça marche nickel soit en bureau étendu (pratique quand on a plein de bazar: on peut laisser des choses à surveiller sur l'autre écran tout en travaillant) ou en copie. Le réglage m'a un peu surpris: on a une fenêtre de réglage affichée sur chaque moniteur. Chaque fenêtre permet de choisir résolution, fréquence de raffraichissement, ... du moniteur où elle est affichée.
J'ai joué avec keynotes et c'est plutôt pratique. Rien de bien révoutionnaire mais on peut afficher la présentation sur un écran (vde-pro) et avoir es diapo suivantes sur l'écran du portable et les commentaires. Un gros problème par contre qui limitera l'utilité de la chose: iworks (donc keynotes est l'outil de présentation) ne supporte pas le format opendocument. :-(

lundi 22 octobre 2007

trackpad: où sont mes boutons ?

le trackpad

où sont mes boutons ?

Bon, le trackpad n'a qu'un seul bouton. Pour avoir les deux autres boutons,
  • soit on utilise un souris à trois boutons
  • soit on les simule :
    • Ctrl-clic: clic droit
    • Alt-clic: clic du mileu
Sous X, on a arfois besoin de la séquence "Ctrl-clic droit". Comment fait-on là ? :-)

tapoti tapota

un truc très pratique, c'est que si on pose deux doigts sur le trackpad, on peut simuler un glisser tant vers le bas (tous les trackad le font) que vers la gauche/droite (ça, par contre, mon ancien portable dell peut s'accrocher ! :-)).
Par contre, tapoter avec un doigt ne simule pas un clic. màj: ça se règle, il suffit de d'aller dans "préférences système/clavier et souris/clic" pour qu'une tape amicale à un doigt sur le trac pad simule un clic. Miam !

(dé)installation de logiciels, images disque

installation de logiciels

Eureka (où est ce @#$ de point d'exclamation ? Ah oui, là ) !

(dé)installation de logiciels, images disque

Mac OS sait travailler avec des images disques. Il sait les créer grâce à son outil de gestion de disque, il sait les monter pour donner accès à ler contenu d'un simple doulble-clic. Ces images sont des fichiers avec l'extension .dmg. Elles sont aussi beacoup utilisées pour distribuer des logiciels;
Les applications apparaissent sous la forme d'un icone unique dans le finder. Il suffit de double cliquer dessus pour les lancer. En fait, si on va jeter un coup d'oeil via un terminal X11, on se rend compte qu'une application est une dossier contenant plein de bazar. Cela explique l'absence de base de registre qui est remplacée par tout un tas de fichiers configurations stockés dans le dossier de l'application. C'es probablement moins précis au niveau de la gestion des droits (on donne les droits sur un fichier, pas sur une ligne d'un fichier) mais probablement plus facile gérer et donc plus fiable à long terme. En pratique :
  • installer un logiciel revient souvent le copier là où il faut (le dossier application) via un simple glisser déposé. Dans les cas compliqué, un installateur est lancé;
  • quand le logiciel est fourni sous la forme d'une image disque, on ouvre l'image disque (double-clic) et on fait glisser le logiciel de l'image disque dans le dossier application (testé avec firefox entre autre).;
  • quand le logiciel est fourni sous la forme d'une image disque compressée, on décompresse, on trouve l'endroit où ce #@$ de logiciel de décompression a mis l'image décompressée et on va à l'étape du dessus;
  • désinstaller un logiciel revient à supprimer son dossier.
Mac OS X sait décompresser seul des .zip. On trouve parfois des fichiers .sit compressé avec les outils stuffit. Pour décompresser ça, il suffit d'installer le logiciel gratuit stuffit expander (cf http://www.osxfacile.com/stuffit.html pour un article là-dessus et là pour récupérer la version 11 du logiciel : http://www.stuffit.com/downloads/files/StuffItExpander11.0.2F.dmg)

coupe feu

coupe feu

il y a un coupe feu sur mon mac. On accède bizarrement à sa configuration via "préférences système/partage". L'ergonomie est bizarre: on se retrouve avec une lise contenant des cases à cocher. Quand on tente de es cocher, on a un message d'erreur. Bon, lire le message d'errer donne l'explication: il indique qu'avant d'autoriser le passage de paquets destinés à un service, il vaut mieux aciver le service avant. :-) Ainsi, dans l'onglet "services", il suffit de cocher "sessions à distance" (c'est le nom qu'utilisent les habitants du pommier pour désigner un "serveur ssh" et la case d'autorisation correspondante est cochées dans le coupe feu.

Comme le souligne un autre "desperate switcher" (cf http://blog.rominet.net/2006_10_01_archive.html), le coupe feu utilisé est ipfw (le moins bon des trois coupe-feu de FreeBSD si 'on en croit la rumeur publique) et, en plus, il est utilisé de façon bizarre : le moteur de suivi d'état n'est pas très utilisé. On peut trouver un fichier de configuration plus solide là: http://blog.rominet.net/scripts/ipfw.sh.
Ayant d'utiliser tout ça, il faudra que je comprenne le processus de démarrage de la bête pour savoir où mettre mon script. Je me demande d'ailleurs si le fichier de configuration du firewall apple est disponible quelque part.
Quelques liens glanés lors de mes recherches :
Question: comprendre le démarrage de Mac OS X semble vital. Où trouver une informations accessible ?

dimanche 21 octobre 2007

#@$ de clavier de @#$~\

#@$ de clavier de @#$~\

Bon, c'est bien gentil le clavier éclairé dans la pénombre mais il y a plein de choses qui ne sont pas à l'endroit où je les attends et en plus, il y en a que je ne trouve pas (\, ~, ...).
Je n'ai rien trouvé en moins de 5 mn dans l'aide :-( (#@$ de "-" qui n'est pas sur la touche 6 mais tout à droite).
dans google, on trouve la page suivante http://www.metacites.net/article143.html (les caractères à la con sous MacOS) qui résume une partie des choses.

~ la tildealt+N
{ l'accoladealt+(
[ le crochetalt+shift+(
} et ]idem en utilisant )
\ le backslash ou antislashalt+shift+/
| la barrealt+shift+L
fin de ligne
Pomme-fleche droite
début de ligne
Pomme-fleche gauche
mot à droite
alt-fleche droite
mot à gauche
alt-fleche gauche

Attention: les applications X11 ont leur raccourcis à eux (puisqu'ils tournent dans X11) : Ctrl au lieu de Pomme pour pas mal de choses (Ctrl-gauche pour mot à gauche, ...). Avec l'habitude, on doit s'y faire. :-)

Une béquille bien pratique : "dans les préférences système, cocher le « visualiseur clavier » dans le « menu Saisie » de « International ». On peut alors afficher un petit clavier sur l'écran quimonre tout ce que l'on peut faire avec le clavier Mac (l'affichge se modifie si on apuie sur des modificateurs : Shift, Alt, ...). Pour cela, cocher sur « Afficher le menu Saisie dans la barre de menus » et cliquer sur le drapeau en haut à droite de la barre de menu pour l’ouvrir."

màj: voir plus loin "ukelele" un outil pour modifier l'affectation des touches du clavier.

samedi 20 octobre 2007

iworks : premier contact

iworks : premier contact

bon, j'ai joué avec iworks. J'ai ouvert des présentations réalisées avec m$-office, modifiées avec openoffice qui ne s'imprimaient plus correctement depuis tant sous m$-office que sous openoffice. Bonne surprise, tout s'ouvre correctement et s'imprime correctement. Un défaut rédhibitoire : iworks supporte très peu de formats tant en lecture qu'en écriture. A part son format propriétaire et les formats m$-office, il y a peu de choses et pas le format opendocuments. :-(
Pour les présentations, iworks est très pratique en multi-écran :
  • un écran (video-proj.) avec la diapo courante
  • sur l'écran du portable : la diapo courante, la diapo suivante et les notes de la diapo courante.
C'est très confortable. On peut faire des choses équivalentes avec m$-office.
Question: et (open|neo)office ? Peut-il faire des choses de ce style ?

Exemple de ce que l'on voit sur l'écran du portable :

le clavier, quel bordel. Illustration sous firefox

clavier sous firefox :


Bon, le clavier, c'est le bordel quand on n'a pas l'habitude. Exemple, firefox (admirable cohérence: Pomme parfois, Ctrl d'autre fois) :
fonctionsous windowssous MacOSX
ouvrir un nouvel ongletCtrl-TPomme-T
ouvrir le lien dans un nouvel onglerCtrl-clicPomme-clic
rechargerCtrl-RPomme-R
passer à l'onglet suivantCtrl-PgUPCtrl-PgUp (en fait: Ctrl-FN-pageUp) ou Pomme-Alt-droit
passer à l'onglet précédentCtrl-PgDownCtrl-PgDown (idem) ou Pomme-Alt-gauche

Si à ça, on ajoute que les touche ne sont pas situées à l'endroit habituel (=, -, _, !, ...). màj: voir plus avant "ukelele" un outil permettant de modifier l'affectation des touches du clavier.

ce qu est gnant ausi, c'es que parfos, il y des toches qui ne assent pas (je ne dois pas appuyer assez).

écran

écran

L'écran est vraiment d'une qualité supérieure à celle de mon dell D620. Ca se sent notamment sur l'angle de vision. Avec le dell, il faut constamment orienter l'écran pour avoir une luminosité suffisante. Là, on peut regarder l'écran à plusieurs sans soucis.

X11, openoffice

20/10/2007

X11

bon, je ne suis pas plus avancé qu'hier. j'ai voulu installer X et j'ai cliqué que la mauvais machin, ça m'a installé tout un tas d'application dont M$-Office 2004 dont je n'ai rien à faire et iworks dont j'ai à faire. J'ai quand même réussi à installer X11 : il suffit d'aller sur le 2e support fourni avec le mac et de demander l'installation des fonctionnalités optionnelles. On peut alors choisir d'installer X11. Ca marche bien mais j'aimerais comprendre l'architecture de la chose pour pouvoir lancer des choses au démarrage (notamment ssh-agent).

ssh-agent

j'ai trouvé ça sur le Web: http://www.phil.uu.nl/~xges/ssh/ (fourni sans doc). Ceci dit, les choses sont plus simples et plus habituelles que ça, X11 lance le script /usr/X11R6/lib/X11/xinit/xinitrc. Dans mon cas, j'ai simplement remplacé la ligne
xterm &
par
ssh-agent xterm &
Évidemment, ssh-agent ne sera valable que pour ce qui est lancé directement ou indirectement depuis cet xterm de lancement de X11. Pour l'instant, ça me suffit. :-)

màj (2007-1111): leopard fournit un ssh-agent lancés dès l'ouverture de session. Les clefs saisies via ssh-agent (ou via l'interface graphique au moment où on fait le ssh) sont donc utilisables dans l'ensemble des applications de la session. Il est possible de sauvegarder sa "passphrase" dans le trousseau de Mac OS X.

Quelques liens glanés sur le WeB :

openoffice

une fois X11 installé, on peut installer openoffice.
màj 2007/0/26: neooffice est une version native d'openoffice. Il n'est pas à jour (une version de retard) mais il est complètemet intégré à l'environnement MacOS.
ràf: tester le comportement des deux openoffice sur une présentation et avec un écran externe.

vendredi 19 octobre 2007

Il est là !

19/10/2007 : il est arrivé !

Ca y est, j'ai atteint la félicité (et plongé volontairement dans une mer d'emm...) : mon macbook est arrivé. Il est beau et une fois démarré, je me retrouve comme une poule devant un oeuf à ne pas savoir par quel bout le prendre.

J'ai récupéré firefox, openoffice et vmware mais je ne sais pas si je les ai installés ou si j'exécute directement le package d'installation. Bizarre bestiole.

Retour à la maison, c'est le soir et je viens de me rendre compte que le clavier était différent de celui des pc dont j'avais l'habitude : l'arobase est en accès direct mais placé à un endroit inhabituel. Je n'ai pas eu encore besoin du pipe (|) mais il n'est pas visible. Ca promet :-)

pourquoi ?

je ne vais pas décrire mes motivations pour profiter de l'occasion de remplacer mon portable dell D620 par un portable apple. Titi y parvient mieux que moi dans son blog : desesperate switcher.

Le but de ce blog est de me servir d'archive, de servir éventuellement à d'autres tentés par l'aventure et de permettre aux lecteurs de m'agonir d'injures quand je raconte n'importe quoi. :-)